
À ceux qui le disent barré, Askehoug répond qu’en cherchant juste le beau, une certaine poésie lui est tombée dessus. Si l’on devait parler d’influences, on dirait : Alain Bashung pour son côté expérimental, Les Beastie Boys pour leur côté hiphop foutraque et décalé, Serge Lama pour son lyrisme désuet, et Jean Rochefort pour son humour, sa poésie et une certaine ressemblance physique. Libre penseur, faisant toujours le choix de l’indépendance, Matthieu Aschehoug, sait s’entourer des meilleurs comme l’ingénieur du son Bertrand Lantz (Melle K, Brigitte). Le dandy décalé surprend par sa voix grave, déambulant avec aisance et rebondissant sur des mélodies complexes. Le public l’aime et les professionnels l’ont sélectionné sur différents tremplins : Askehoug a touché du doigt la victoire des Chorus des Hauts de Seine 2009 et du Grand Zebrock 2010. Le groupe a remporté les Trophées du Mans Cité chanson , des Rencontres Mathieu Côte 2011 et le Pic d’Or 2013. Askehoug reçoit le Coup de Coeur de l’Académie Charles Cros 2013 et l’album Je te tuerai un Jeudi reçoit le prix Georges Moustaki , prix du meilleur album indépendant de l’année. Le dandy décalé surprend par sa voix grave, déambualant avec aisance et rebondissant sur des mélodies complexes. «Totalement barré donc super doué » disait un journaliste de Télérama en juillet 2012. Venez-vous faire votre propre idée !